Stefano Giani : citoyen du monde depuis 1959, il travaille pour Il Giornale, un important journal italien, depuis 1989. Il exerce également une activité de didactique et de recherche scientifique à l'Università degli Studi di Milano, où il s'occupe de l'histoire sociale du spectacle, avec un intérêt historique particulier pour le cinéma.
De Hitler à Staline, de Mussolini à Franco, de Salazar aux régimes de l'Est, ce beau livre nous explique comment le cinéma a raconté les dictatures européennes, en revenant non seulement sur les films à grand succès (comme la liste de Schindler), mais aussi sur ceux moins connus ou disponibles en France en DVD uniquement.
Des genres apparemment complètement différents les uns des autres - dramatique, science-fiction, grotesque, horreur, engagé, satirique, comique - composent une fresque hétérogène et complète, qui raconte les périodes sombres de l'histoire européenne à travers l'oeil désacralisant ou complaisant des scénaristes et des réalisateurs.
Les dictateurs au cinéma n'est pas un livre politique, ni même une critique cinématographique : c'est un travelling immanquable de films, de faits, de personnages et d'époques qui méritent que l'on se souvienne d'eux.
De Hitler à Staline, de Mussolini à Franco, de Salazar aux régimes de l’Est, ce livre nous explique comment le cinéma a raconté les dictatures européennes, en revenant non seulement sur les films à grand succès (comme La Liste de Schindler), mais aussi sur ceux moins connus ou disponibles en France en DVD uniquement. Des genres à prime abord complètement différents les uns des autres – dramatique, fantasy, grotesque, horreur, engagé, satirique, comique – composent une fresque hétérogène et complète, qui raconte les périodes sombres de l’histoire européenne, à travers l’oeil désacralisant ou complaisant des scénaristes et des réalisateurs. Les dictateurs au cinéma n’est pas un livre politique, ni même une critique cinématographique : c’est un travelling immanquable de films, de faits, de personnages et d’époques qui méritent que l’on se souvienne d’eux.
Stefano Giani : citoyen du monde depuis 1959, il travaille pour Il Giornale, un important journal italien, depuis 1989. Il exerce également une activité de didactique et de recherche scientifique à l‘Università degli Studi di Milano, où il s’occupe de l’histoire sociale du spectacle, avec un intérêt historique particulier pour le cinéma.